LLOYD + GIBIER + MOKSHA

LLOYD

Que se passerait-il si l’on rejouait différemment l’histoire de la pop depuis les années 70 ?

Les oreilles collés sur les vinyles de Supertramp et Pink Floyd, la fratrie Lloyd opère un véritable retour vers le futur avec un rock puissant et incisif aux arrangements léchés. Formé en 2011, avec déjà deux EP et deux singles à son actif, le trio a fait sa place sur la scène indé, jusqu’à devenir un groupe incontournable de l’une des salles emblématiques des nuits parisiennes. Avec Alexis au chant et à la guitare, Loris aux claviers et Antoine à la batterie, LLOYD réunit autour de lui des amateurs de rock de tous horizons, où l’organique croise le synthétique sur des mélodies fédératrices.

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GIBIER

Gibier remonte à la rencontre de trois amis, Arthur Leparc (chanteur bassiste), Nathan Luyé (chanteur guitariste) et Guillaume Quincy (batteur), en 2004. Leur passion commune pour le métal les mène à la création d’un premier groupe. Après sa séparation en 2010, ses membres vaquent à leurs activités artistiques, avant de reprendre un contact musical
en 2016. Ainsi naît Gibier, leur nouveau projet. La passion pour le metal résonne dans leurs titres et s’accompagne des inspirations variées de chacun des membres, leur ouvrant la voie à de nouveaux horizons musicaux.

Gibier chante dans un français poétique et satirique, joue une musique rock et groovy, et entraîne par ses rythmes des mouvements spontanés de hanche et de tête.

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MOKSHA

Trio Rock alternatif français, fondé à Paris en 2004 par Thin (Chant, guitare, textes) et Lina originaire de Suisse (Bassiste, chœurs). Le groupe a sorti un 1er album en français “T.O.A.” (Schizophrenia Records 2008), déjà représentatif de l’univers MOKSHA, de par son mélange des genres. On passe ici du métal lourd à l’électro, du rock à la pop. Les textes sont tout en poésie, modernes, instinctifs, où leurs vicissitudes sont crachées par une voix allant du hardcore à la voix de fausset. Salué par la critique, un des titres de l’album sera même repris par Eleonora Zouganeli (“An” EMI Greece) et donnera lieu à un succès national.
Curieux de s’aventurer ailleurs, MOKSHA sort en 2011 un EP “Do It Ourselves”(No Fake Productions), en anglais, où les influences de l’informatique musicale s’affinent, et se voit réaliser deux clips vidéos par Deyan Ilic. Plus d’un million et demi de vues cumulées sur les réseaux sociaux.
Après avoir enchaîné les concerts, le groupe revient en studio et sort en 2013 un EP plus sombre “Reality is a Fake” (No Fake Productions), la pochette évocatrice, montrant un jeune indien enfermé dans une tour de PC nous montre que le groupe continue les expérimentations en lien entre l’homme et la machine tout en réveillant leur conscience de l’autre, les textes, toujours en proses, sont brutes, et sonnent l’heure des désillusions.
En 2014, toujours en quête de vérité à déshabiller, de pureté à expérimenter, MOKSHA se lance dans l’écriture d’un nouvel EP, malheureusement le destin se chargera de les stopper net en immobilisant Lina pendant trois années à la suite d’une maladie rare. Sortiront tout de même trois singles relatant l’état du moment.
2018. MOKSHA, de retour à la vie, retourne à l’écriture, en studio et prépare activement de nouveaux concerts.
De nouveaux titres qui sortiront dans les prochaines semaines, nouvelle composition photo faite en compagnie de notre talentueux ami Chris C.B., un nouvel arrivant plein d’énergie dans le groupe (Alex à la batterie), nouveau site internet, nouvelles idées et nouvelles envies.
MOKSHA is back !

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INFOS PRATIQUES

21h00 : Concerts – 7 €
00h30 : Club (DJs) – 20 € (2 consos)
Information et Réservation restaurant : 01 45 26 80 35

Le Bus Palladium : 6, rue Pierre Fontaine 75009 Paris
Metro : 12 – Pigalle
Bus : 75 – Pigalle Chaptal