VANISHED SOUL
Vanished Souls (VS), plus qu’un groupe, c’est la synthèse de l’évolution de 50 années d’histoire du rock avec des références telles que Radiohead, My Bloody Valentine, Archive, Sigur ros, Pink Floyd…
C’est un univers Visuel et Sonore, une invitation au voyage, enivrante et puissante.

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DUKES OF PARIS
Dukes of Paris ne ressemble à personne mais évoque une sensation d’excitation adolescente, de pulsion sexy qu’on comprend mieux quand Popy (du groupe No one Is innocent) et Brice avouent leur amour des premiers films de Spielberg ou se réfèrent à Stranger Things sur « Dark Monster », l’un des titres phares de ce nouvel EP.

Un titre qui représente bien les univers contrastés de ce duo faussement qualifié d’electro rock alors qu’il est surtout furieusement électrique : on y retrouve la pop des Smashing Pumpkins, des mélodies que Phœnix ne renieraient pas, et la rage du Nirvana de leur adolescence.

Quelque part entre les Naïve New Beaters, Housse De Raquette, Miss Kittin ou un Gesafesltein testostéroné aux guitares le nouvel EP de Dukes Of Paris (réalisé par Jérôme Litré-Froment (Woodkid, Lily Wood & The Pricks, No One Is Innocent…)) affirme un groupe qui sait faire danser tout en conservant des références évidentes dans l’univers des six cordes électriques.

Du lancinant « Dance » au groove de « Vedette Américaine » Dukes Of Paris affiche un personnalité forte avec un chant en Français qui n’altère rien d’un son très international, et une attitude de bad boys qui n’est pas déplaisante face à l’aspect lisse de la plupart des fusions entre groove électronique et énergie électrique. Porté et annoncé par le surprenant clip de « Dance » (qui ne déplairait pas à Die Antwoord), le nouvel EP de Dukes Of Paris ne vous donne qu’une envie, les voir sur scène.

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LA VAGUE
LA VAGUE. La rencontre de deux êtres indomptables : Thérèse, néo-geisha volcanique et John, animal provocant au sang-froid. Ils s’entrechoquent pour créer une Pop hybride, teinté de beats pesants, de gros riffs et d’envolées aux influences extrême-orientales.

LA VAGUE c’est l’histoire d’un questionnement assumé sur l’absurdité de la vie, couché sur des chansons mélancoliques, tendues et jubilatoires.

Le groupe sort un clip du single « Hardcore Melancholia » en avril 2017. Cette vidéo raconte, avec une ironie léchée, notre génération burn-out. Dans la foulée arrive leur premier EP « Serotonin ». Tantôt aérien et lumineux, tantôt brut et dense. Volontairement déroutant. Un opus aussi mouvementé que la vie des adulescents trentenaires qui l’ont composé.

Lauréats du Grand Zebrock et finalistes du tremplin Firestone en 2018, ils achèvent un nouvel EP à découvrir en avant-première sur la scène du Bus Palladium.

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INFOS PRATIQUES
21h00 : Concerts – 7 €
00h30 : Club (DJs) – 20 € (2 consos)
Information et Réservation : 01 45 26 80 35